Programme pour le thème S20 lundi après midi salle A

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16H40 : n° 133 Un modèle cohésif pour la fatigue, effet de surcharge et fissuration tridimensionnelle

Jérôme Laverne Eric Lorentz Jean-Jacques Marigo
EDF R&D
On propose un modèle cohésif permettant de rendre compte de la fissuration par fatigue dans une structure 2D ou 3D soumise à un chargement cyclique d’amplitude quelconque. Le modèle présenté est fondé sur un principe de minimisation d’énergie. Les résultats numériques mettent en évidence un certain nombre de phénomènes intéressants, notamment l’identification d’une loi de Paris pour un chargement d’amplitude constante et l’effet retard dû à une surcharge dans un matériau ductile.

17H20 : n° 311 Modèle cohésif pour la réaction-rupture des céramiques et prédictions de fissuration lente

Rafael Estevez Marcos Romero de la Osa Christian Olagnon Jérôme Chevalier Christophe Tallaron
Université de Lyon / INSA Lyon / MATEIS UMR 5510
La durabilité des céramiques est limitée par leur fissuration lente assisté par l’environnement. Sa vitesse augmente avec le taux d’humidité et la température. La résistance à cette fissuration dépend de la microstructure et de la taille de grain. Un modèle cohésif est proposé pour mimer le mécanisme de réaction-rupture sous-jacent, avec une formulation inspirée de résultats d’atomistique. Nous simulons la propagation intergranulaire et étudions les mécanismes gouvernant cet endommagement.

17H40 : n° 796 Construction d'une loi cohésive énergétiquement équivalente à un modèle élasto-plastique endommageable

Fabien Cazes Anita Simatos Michel Coret Anthony Gravouil Alain Combescure
LaMCoS (Institut National des Sciences Appliquées de Lyon)
L’objectif est l’obtention d’une loi cohésive à partir d’un modèle continu régularisé servant de modèle de référence. Le concept de fissure équivalente est utilisé, selon lequel un état d’endommagement localisé peut être remplacé par une discontinuité si la quantité d’énergie dissipée par la structure est préservée. La méthode n’impose pas de restriction sur le type de régularisation du modèle de référence (nonlocal, second-gradient, …), ni sur la forme de la loi cohésive déduite.